Un central solaire est la meilleure solution pour récupérer une mine d’uranium défalquée et inadaptée à la majorité des activités agricoles ou encore industrielles. Ainsi, c’est ce qu’il faut pour l’ex mine d’uranium notamment l’Ecarpière à Gétigné dans le Sud de Nantes, qui est fermée depuis 1991. Le central solaire va lui permettre d’avoir à nouveau son aspect correct, ce qui constitue beaucoup d’avantages pour son environnement.
Les avantages d’un central solaire sur l’ex-mine d’uranium
L’énergie est un élément clé dans le développement socio-économique. C’est pourquoi, un central solaire reste un équipement qui a une grande importance tant pour la population que pour les entreprises. Les premiers avantages des panneaux solaires sur cette ex mine d’uranium, c’est son coût. Ils fonctionnement et produisent de l’électricité avec un faible coût ; de plus, c’est tout le secteur et les habitants environnants qui en profitent. L’autre avantage, c’est son entretien. Le central solaire n’a pas besoin d’être entretenu régulièrement. Au contraire, son entretient est totalement réduit et pour fonctionnement, le bruit de son système reste silencieux. Enfin, il est d’une haute fiabilité et ce n’est pas la peine d’utiliser des pièces mobiles. Cependant, si le système est un suiveur solaire, alors on utilise ces pièces mobiles et dans ce cas, le mouvement devient carrément lent.
La mise en service du central solaire
Le central solaire ne nécessite pas donc d’une intervention humaine à continuité. Ce qu’il demande, c’est plutôt un grand espace, pour son installation. C’est pourquoi, la mine d’uranium de l’Ecarpière à Gétigné est un endroit favorable. Il a suffisamment d’espace pour accueillir un central solaire. Pour l’implanter comme il se doit, Photosol, une société française de production d’énergie renouvelable, a loué à Avéra, pour une durée de 20 longues années, le propriétaire du site, en cédant les 12 des 240 ha de la surface. La capacité est de 3,7 mégawatts et elle se chargera d’alimenter en électricité des foyers au nombre de 1500. Il est prévu de démarrer les travaux cet été, ce qui va nécessiter un déploiement de 4 millions d’euros environ, un investissement qui va être rentable d’ici 14 à 15 ans.