Malgré l’aggravation, du réchauffement climatique, les énergies renouvelables continuent à s’imposer, à savoir les énergies solaires même s’ils restent demeure toutefois limité par leur coût d’acquisition et d’installation élevée notamment sur les capteurs solaires photovoltaique sans parler de leur rendement relativement faible. Les chercheurs de l’Institut Weizmamn sont sur le point de créer des cellules photovoltaïques très efficaces qui sont largement économiques. Ces nouveaux dispositifs ont pour secret : le pérovskite. Selon les chercheurs, ce nouveau matériel transformera l’énergie solaire à une véritable alternative crédible aux énergies fossiles pour la production de l’énergie électrique.
Les panneaux solaires
Il faut savoir qu’il existe une variété de panneaux solaires pour transformer le rayonnement solaire soit en énergie électrique, soit en énergie thermique. La différence se situe entre la rentabilité et l’efficacité. En effet, il faut préférez les panneaux solaires thermiques que les panneaux solaires photovoltaïques. Ces derniers ne sont pas profitables que dans les régions qui ont au taux d’ensoleillement élevés et dont le coût des énergies électriques produites par d’autres ressources n’est pas profitable à tous les ménages.
Dans la majorité des cas, et statistiquement parlant, l’on constate que les panneaux solaires photovoltaïques sont composés de silicium qui est un matériau peu couteux, existe en grande quantité dans la croûte terrestre et c’est avec lequel on conçoit les verres. En effet, une particule associée aux ondes électromagnétiques appelées « Photon » touche une cellule photovoltaïque et provoque une rupture entre un atome de silicium et l’un de ses électrons pour créer une différence de potentiel électrique.
Malgré ce mécanisme, les cellules n’assurent guère une exploitation efficace de la totalité des ondes, c’est qui implique que les infrarouges que le soleil émet ne suffisent pas pour entraîner un mouvement massif des électrons, tandis que les ultraviolets se dissipent étant donné qu’ils ont trop d’énergie pour agir sur les électrons.
La vision sur les pérovskites
Avec ce faible rendement des siliciums, les chercheurs ont décidé de recourir à d’autres matériaux qui optimiseront l’exploitation des « photons » associés avec les ondes courtes comme les ultraviolets. Cette association permettrait de fournir encore plus d’électricité à partir d’une même surface. Les pérovskites dont la formule chimique est CaTiTO3 ou « Titanate de Calcium » a vu le jour en 2009 grâce à des recherches dirigées par le Professeur Tsutomu Miyasaka de l’Université de Yokohama à Japon. Les tests que les chercheurs ont effectués ont permis d’obtenir un nouveau type de cellule solaire plus efficace sauf qu’il était instable, mais les groupes de chercheurs n’ont pas baissé les bras. Les professeurs de l’institut Weizman, David Cahen et Gary Hodes s’est rendu compte de l’intérêt et de l’importance de cette nouvelle découverte dans l’approvisionnement d’une cellule photovoltaïque économique fournissant des hautes tensions électriques en utilisant efficacement les ultraviolets.
Les pérovskites sont devenues prépondérantes pour les cellules photovoltaïques grâce à sa structure des composés organiques tels que des atomes de carbone et d’hydrogène, des composés inorganiques comme les plombs, le bromure et les iodures.
Contrairement au silicium, les pérovskites exploitent de façons optimales les photons de haute énergie. La tension est fournie est de 1,5 volt si avec les siliciums n’émets que 0,7 volt